CBD et sport: Christophe Tartari, ancien pro du muay thaï en parle

CBD et sport, tu hésites encore ? Et pourtant, c’est le booster dont tu as besoin. Christophe Tartari, ancien pro du muaythai, lui a décidé de se lancer et nous en parle.

Tu peux nous parler un peu du muay thaï?

Le muay thaï, ça peut être traduit par la boxe thaï. C’est un peu la version thaïlandaise du kickboxing européen. Sa particularité, c’est qu’on utilise en fait toutes les parties du corps, notamment les poings, les coudes, les pieds et les genoux. C’est un combat au corps à corps qui ne s’arrête qu’une fois que l’un des combattants à terre. En Thaïlande, on utilise des gants de boxe. Mais moi, pour ma part, quand j’y étais, je me la faisais en mode vintage. J’utilisais les traditionnelles cordes pour mes combats.  Je n’y peux rien, je suis un nostalgique dans l’âme. Rires.

Christophe Tartari ey puay thai

Comment as-tu commencé le muay thaï? 

Je me suis engagé dans la Légion étrangère à 19 ans. J’ai été légionnaire parachutiste en Corse pendant, je dirais, cinq ans. A ma deuxième année de service, j’ai rencontré plusieurs boxeurs et je crois que c’est là que je me suis trouvé cette vocation. J’en suis devenu tellement accro que je me suis dit que j’allais partir en Thaïlande pour faire de la boxe thaï dès que j’ai fini mon contrat avec l’armée.

J’ai fini mon cursus militaire en 2006 et deux mois après, me voilà en route pour la Thaïlande. Mon objectif était d’approfondir mes connaissances et ensuite faire carrière en tant que boxeur professionnel. Bien sûr, avant je faisais de la boxe un peu par-ci par-là avec des amis mais ça n’a jamais été au niveau professionnel. J’ai passé aussi un peu de temps en Chine.

Et qu’en est-il de ton parcours professionnel en tant que boxeur ?

J’ai eu la chance de participer au Thai Fight Kard Chuek. C’est une télé-réalité thaïlandaise qui mettait en scène plusieurs stars de la boxe thaï. Il leur manquait des boxeurs donc j’ai été recruté pour me lancer dans la compet’. Je peux te dire que ça a été un sacré challenge. Je boxais normalement dans la catégorie des 63-65kgs et là j’avais à faire avec des gaillards de 70 kg. Et manque de bol, je suis tombé sur l’armoire à glace de la compét’ qui faisait 1.92m. Je n’ai donc pas besoin de te dire à quel point j’ai galéré pour l’atteindre. Je suis donc passé en mode low kick et bon, ça m’a permis de tenir jusqu’à la fin du match. J’étais même étonné de ne pas être tombé KO alors que les autres combattants tombaient comme des mouches pendant la compétition. On a eu pas mal de bras cassés pendant l’émission. Donc j’étais assez fier de moi.

Christophe Tartari au Thai Fight Kard Chuek

Ce combat m’a ouvert la porte à de nouvelles opportunités en Chine. J’ai participé à pas mal de compétitions mais malheureusement, je n’ai jamais eu de ceinture. Il faut savoir qu’en Thaïlande, je boxais surtout pour vivre. Je n’ai donc pas eu l’opportunité de m’entraîner juste pour une ceinture ou pour un titre. 

Mais je me suis cassé la main pendant mon dernier combat. J’ai donc repris la direction de la France il y a six ans de ça. J’ai commencé une carrière dans la sécurité, j’étais devenu garde du corps, et j’ai fondé ma propre boîte de sécurité en Afrique. Aujourd’hui, je suis agent de sécurité privé armé en France. Quoi qu’il en soit, je fais encore un peu de combat mais c’est juste pour le fun.

As-tu une petite anecdote à partager avec nous ? Quelque chose qui t’a marqué dans ton parcours ?

Là, je te répondrai encore le Thai Fight Kard Chuek. J’ai rencontré les grands noms de la boxe thaï de l’époque dont Mickael Piscitello, un boxeur lyonnais avec qui j’ai gardé le contact. Il y avait aussi Youssef Boughanem, un boxeur marocain qui est champion du monde de boxe thaï, qui habite en Thaïlande. J’ai également fait la rencontre de Saiyok Pumpanmuang qui a affronté d’ailleurs en finale Sudsakorn Sor Klinmee.

Comme c’était de la téléréalité, on devait chambrer un peu l’adversaire quelques jours avant le match, faire quelque chose à la Rocky-Creed. Heureusement que certaines scènes étaient coupées au montage parce qu’on se tapait des fous rires à ne plus en finir. A un moment, j’ai tellement rigolé que j’ai dû sortir de la scène. Rires. On essayait tous de rester concentré et sérieux mais rien n’y faisait. C’était vraiment une ambiance de dingue. Mais une fois sur le ring, on oubliait tout ça, c’était violent.

Alors, depuis quand prends-tu du CBD ?

J’ai commencé à en prendre en Thaïlande. C’était plus pour la récupération et les douleurs aux articulations. Après chaque combat, on est en mode zombie. Je ne suis pas trop médicaments et anti-douleurs, des trucs chimiques dont j’ignore la composition, il me fallait quelque chose de naturel. Je suis quelqu’un qui prend très bien soin de son alimentation. Je sélectionne toujours les meilleurs produits et je les cuisine moi-même. Donc, je ne voyais (et je ne vois toujours pas) aucune raison de prendre des médicaments chimiques pour tout foutre en l’air.

En plus, j’avais déjà utilisé du CBD, j’ai vu que ça a super bien marché pour moi. On ne change pas une équipe qui gagne pour moi.

Quel dosage as-tu choisi ?

J’ai demandé conseil à mon ami question dosage parce que c’est un spécialiste du CBD. Comme je l’ai dit, je monte encore un peu sur le ring encore aujourd’hui, mais pas au niveau professionnel. J’en prends donc 3 gouttes d’une huile à 40% le matin, à midi et le soir avant un combat ou avant de partir en montagne.  Je m’y prends un mois à l’avance. Mais pendant mes journées d’entraînement, je rajoute des gélules à 1000 mg le matin et l’après-midi, histoire de gérer la douleur et la récupération.

Mais j’en prends aussi tous les jours. Donc, en temps normal, je prends 3 gouttes d’une huile à 40% le matin lorsque je me lève et 3 autres gouttes le soir 30 minutes au moins avant de me coucher. Il m’arrive aussi de prendre une gélule de 1000 mg après avoir mangé.

Quelles améliorations as-tu remarqué depuis ? Que ce soit mental ou physique ?

Christophe Tartari et cbd

Mais maintenant que je ne fais plus de boxe, je suis plus dans les rando en montagne et tout ça. J’y vais d’ailleurs avec un ami qui est un grand fan de CBD. Il m'a fait renouer avec le produit et on voit tout de suite la différence au niveau des genoux et le dos qui en prennent un bon coup après une longue marche. On en prend le soir et le matin on est vraiment d’attaque : on a mieux dormi, on a moins mal et on se sent mieux. Que demander de plus ?

Et au quotidien, ça m’aide à me détendre la journée. Je suis plus serein, plus focus, points important dans mon travail. Ça aide aussi à oublier les petites douleurs du quotidien, notamment le dos qui flanche fvorcément avec l’âge. Rires.

Tu as déjà essayé d’autres marques avant 99. Tu as noté quelques différences?

C’est assez compliqué. En Thaïlande, je prenais également des petites gélules de CBD. Mais là-bas, j’avais de très grosses douleurs. J’avais noté les effets du produit sur moi mais ce n’était pas aussi flagrant qu’avec les gélules que j’ai pris en France. Je ne sais pas si c’est la qualité qui est nettement meilleure mais y a pas photo.

Si tu avais quelque chose à dire à ces sportifs qui hésitent encore à prendre du CBD, ce serait quoi ?

Eh bien, les gars, tout ce que vous avez à faire c’est de tester d’abord et vous verrez. L’essayer c’est vraiment l’adopter. Ça vous donne un coup de pêche le matin, ça vous booste pendant les entraînements. En plus, question douleurs, courbatures etc, vous pouvez les oublier. Les gars, laissez tomber ces antidouleurs qui vous rendent accros. Avec le CBD, vous ne devenez pas dépendant, vous pouvez arrêter d’en prendre d’un coup, vous n’aurez pas à vous sevrer à la façon d’un junky. Vous n’avez qu’une petite décision à prendre.

Merci beaucoup Christophe d’avoir partagé avec nous cette expérience. Et toi ? Tu attends quoi pour te lancer et changer le game ? Les produits Ninety9 n’attendent que toi.